Zones sensibles et escamots
Percevoir et penser en hyperpaysage, c’est voyager avec toute notre intelligence, c’est disjoindre les informations tout en les reliant
Ce qui frappe tout d’abord le novice qui découvre Internet, c’est l’abondance des métaphores spatiales pour décrire ce monde nouveau, et plus particulièrement dans le domaine maritime : navigation, "surf", ancres, noeuds, .... Rien que ces quatre termes donnent une idée de ce qui nous traverse fondamentalement tous, de manière contradictoire : le besoin de voyager (...)
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Désir, plaisir de la découverte
Percevoir-penser en hyperpaysage, c’est ouvrir des portes pour aller plus loin.
Quand nous sommes dans un environnement réel, que ce soit à l’extérieur ou à l’intérieur, qu’est-ce qui nous donne envie de découvrir le paysage qui s’offre à nous ?
Généralement, sur le terrain, dès qu’une image apparaît dans la zone périphérique de l’oeil, le regard est attiré par ce point d’appel, le fixe puis balaie de façon rapide et saccadée les alentours (Loiseau et alii, 1993). Les points d’appel sont hiérarchisés en (...)
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Peur de l’inconnu, peur de se perdre
Percevoir et penser en hyperpaysage, c’est oser se perdre pour mieux se retrouver.
Désorienter ou guider ?
"Personne, sauf l’auteur d’un hypertexte, ne peut lire l’ensemble des textes compilés et codés selon une structure plus ou moins complexe qui interdit toute vision d’ensemble. Les réactions face à ce mode de lecture sont diverses : certains ont l’impression de passer à côté d’une partie du contenu sans le savoir alors que d’autres craignent de se perdre complètement dans la structure trop complexe (...)
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