"On se cachait parfois dans les buissons, puis on se sauvait. On n'avait rien à se reprocher, mais c'était tellement amusant de faire courir la vieille Soeur Marie-Joseph, en espérant qu'elle trébuche dans sa grande jupe ou qu'une branche ne garde son voile ! On se demandait tellement comment elles étaient en dessous !" (années 1965-1971)